Premiers pas dans Silksong ; revoir sur grand écran le plus grand film d’action de tous les temps ; et la lecture échevelée d’un roman fantastique qui m’attend depuis 5 ans…
Commencé hier Silksong, et y a pas à dire, juste joué une petite heure ça a suffi pour me donner le smile de parcourir encore ce fabuleux univers
Et Hard Boiled, découvert aussi avec la ressortie, je confirme: incroyable film d'action, y a des images qui marquent la rétine comme Philip Kwok qui allume sa clope avec une voiture qui crame :)
La scène que tu décris est imprimée à jamais dans mon esprit, comme tant d'autres... Celle de Tony Leung accroché à la proue de son bateau ; son sourire durant son stupéfiant face à face avec Chow Yun-fat, au coeur des nuages de poussière, juste après le "clic" ; la glissade sur la rambarde du café ; le visage couvert de farine qui change soudainement de couleur ; le face à face figé dans le temps entre Tony et Philip dans l'hôpital... Et tant d'autres. Inoubliables.
Quant à Silksong, ça me fait du mal de devoir le lâcher. Je vais essayer d'y jouer dans l'avion si je ne suis pas trop crevé...
Cool que t’aies eu l’occasion de voir Hard Boiled en salle. Prêt pour la lecture et pavé 😬, voilà mon retour de cette expérience :
HARD BOILED - 辣手神探 - À TOUTE ÉPREUVE
Enfin j’ai pu voir ce film mythique (dans une salle obscure), dont je rêvais d’une sortie DVD voir BR au fur et à mesure des années .
Que dire…
Déjà je ne sais pas, si je l’ai vu entièrement à l'époque…
J’ai des bribes du début, mais c’est tout et surtout le souvenir du doublage en VF du personnage de Tequila avec Michel Vigné (qui doublait B.Lee dans Rapid Fire). Un grand écart avec la voix de Fat.
Mais donc, ce fut une totale découverte et qui plus est, sur grand écran avec une restauration 4K de toute beauté. Une grosse claque visuelle, sur ce point ci je savais que je n'allais pas être déçu.
Le rythme est dingue, ça ne s’arrête jamais. Woo est en roue libre totale dans le sens ou il se fait plaisir dans la démesure . Ça pétarade de partout. Ça cut à tout va dans les scènes d'action. Les plans s’enchaînent bien, ce n’est pas d’un niveau de Vincent Poiré 😀 ou même d'Une Balle dans la tête qui m'avait épuisé à ce niveau-là. Mais dans les scène de gunfight, c’est comme disait la presse à l'époque, un ballet visuel de gunfight. La scène de l'hôpital est une démonstration de réalisation et de la maîtrise de la spatialisation même si par moment, je me demande, mais comment est-ce possible ? Et il y a aussi un plan séquence de zinzin dans ce dernier acte. On est en 91/92, une telle maîtrise m’a mis sur le cul. Et la violence, mon dieu elle y va crescendo. Comment ne pas aussi parler du score de Michael Gibbs, très jazzy/pop des 90’s.
Les acteurs s’en donnent à cœur joie, en tête Chow Yun Fat qui embrasse son rôle et qui par moment cabotine, mais est tellement communicatif et Tony Leung, quel charisme de malade. Quel acteur. Le duo fonctionne bien. Bon par contre, ne parlons pas de rôle féminin, et encore celui de Teresa n'est pas la pure potiche mais bon, elle ne brille pas par sa présence…
Enfin voilà, j'en rêvais depuis longtemps, de voir ce film sur grand écran, je n’ai pas été déçu, après bien sûr il accuse son âge par certains moments, les transitions, les faux raccords, certains ralentissements et par moment la synchro labiale qui avait l’air désynchronisée dans certaines scènes, notamment celles avec John Woo (je ne m’attendais pas à ce trip du réal présent dans son film…) mais niveau action, 33/34 ans après, il tient la dragée haute face à certaines grosses prods de nos jours.
Et quelle énorme surprise de voir Jun Kunimura jouer le malfrat de l’intro. Et surtout de le voir jeune. Hahaha. Mais comment a-t-il atterri dans ce projet ? Hallucinant. Pour ceux et celles qui se demandent mais de qui il parle ce con, il a joué dans The Strangers/Kill Bill/Outrage, il est modélisé dans la série de JV Yakuza et j’en passe. Un visage très reconnaissable.
Enfin voilà, tout ça pour dire NE LE LOUPEZ PAS ! (Enfin si il passe près de chez vous)
Commencé hier Silksong, et y a pas à dire, juste joué une petite heure ça a suffi pour me donner le smile de parcourir encore ce fabuleux univers
Et Hard Boiled, découvert aussi avec la ressortie, je confirme: incroyable film d'action, y a des images qui marquent la rétine comme Philip Kwok qui allume sa clope avec une voiture qui crame :)
La scène que tu décris est imprimée à jamais dans mon esprit, comme tant d'autres... Celle de Tony Leung accroché à la proue de son bateau ; son sourire durant son stupéfiant face à face avec Chow Yun-fat, au coeur des nuages de poussière, juste après le "clic" ; la glissade sur la rambarde du café ; le visage couvert de farine qui change soudainement de couleur ; le face à face figé dans le temps entre Tony et Philip dans l'hôpital... Et tant d'autres. Inoubliables.
Quant à Silksong, ça me fait du mal de devoir le lâcher. Je vais essayer d'y jouer dans l'avion si je ne suis pas trop crevé...
Hello ! Merci pour la newsletter du jour et bon trajet retour !!
Cool que t’aies eu l’occasion de voir Hard Boiled en salle. Prêt pour la lecture et pavé 😬, voilà mon retour de cette expérience :
HARD BOILED - 辣手神探 - À TOUTE ÉPREUVE
Enfin j’ai pu voir ce film mythique (dans une salle obscure), dont je rêvais d’une sortie DVD voir BR au fur et à mesure des années .
Que dire…
Déjà je ne sais pas, si je l’ai vu entièrement à l'époque…
J’ai des bribes du début, mais c’est tout et surtout le souvenir du doublage en VF du personnage de Tequila avec Michel Vigné (qui doublait B.Lee dans Rapid Fire). Un grand écart avec la voix de Fat.
Mais donc, ce fut une totale découverte et qui plus est, sur grand écran avec une restauration 4K de toute beauté. Une grosse claque visuelle, sur ce point ci je savais que je n'allais pas être déçu.
Le rythme est dingue, ça ne s’arrête jamais. Woo est en roue libre totale dans le sens ou il se fait plaisir dans la démesure . Ça pétarade de partout. Ça cut à tout va dans les scènes d'action. Les plans s’enchaînent bien, ce n’est pas d’un niveau de Vincent Poiré 😀 ou même d'Une Balle dans la tête qui m'avait épuisé à ce niveau-là. Mais dans les scène de gunfight, c’est comme disait la presse à l'époque, un ballet visuel de gunfight. La scène de l'hôpital est une démonstration de réalisation et de la maîtrise de la spatialisation même si par moment, je me demande, mais comment est-ce possible ? Et il y a aussi un plan séquence de zinzin dans ce dernier acte. On est en 91/92, une telle maîtrise m’a mis sur le cul. Et la violence, mon dieu elle y va crescendo. Comment ne pas aussi parler du score de Michael Gibbs, très jazzy/pop des 90’s.
Les acteurs s’en donnent à cœur joie, en tête Chow Yun Fat qui embrasse son rôle et qui par moment cabotine, mais est tellement communicatif et Tony Leung, quel charisme de malade. Quel acteur. Le duo fonctionne bien. Bon par contre, ne parlons pas de rôle féminin, et encore celui de Teresa n'est pas la pure potiche mais bon, elle ne brille pas par sa présence…
Enfin voilà, j'en rêvais depuis longtemps, de voir ce film sur grand écran, je n’ai pas été déçu, après bien sûr il accuse son âge par certains moments, les transitions, les faux raccords, certains ralentissements et par moment la synchro labiale qui avait l’air désynchronisée dans certaines scènes, notamment celles avec John Woo (je ne m’attendais pas à ce trip du réal présent dans son film…) mais niveau action, 33/34 ans après, il tient la dragée haute face à certaines grosses prods de nos jours.
Et quelle énorme surprise de voir Jun Kunimura jouer le malfrat de l’intro. Et surtout de le voir jeune. Hahaha. Mais comment a-t-il atterri dans ce projet ? Hallucinant. Pour ceux et celles qui se demandent mais de qui il parle ce con, il a joué dans The Strangers/Kill Bill/Outrage, il est modélisé dans la série de JV Yakuza et j’en passe. Un visage très reconnaissable.
Enfin voilà, tout ça pour dire NE LE LOUPEZ PAS ! (Enfin si il passe près de chez vous)