L’épisode #41 du podcast Pixel Bento est là !
2024 est l’année du dragon ! On invoque Shenron et ses potes pour aborder la place unique de cette créature fantastique dans le jeu vidéo.
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Cet épisode 41 de Pixel Bento est le premier enregistré et diffusé en 2024 !
On a donc profité de cette nouvelle année placée sous le signe du dragon pour revenir sur la place de cet animal mythique dans le jeu vidéo (avec de petites échappées dans la Pop Culture).
Mais aussi omniprésent soit-il dans le jeu vidéo et la pop culture en règle générale, que ce soit en tant que boss, invocation ou compagnon d’armes, le dragon possède mille visages.
Il est aussi représenté très différemment entre l’orient et l’occident, comme l’illustre les deux images qui suivent, deux exemples cités dans ce podcast !
Voici la vidéo de la pause musicale de cet épisode ! La fabuleuse reprise de la musique du niveau Green Hill Zone de Sonic par le jazzman Jon Batiste. Allez jeter un oeil, et surtout une oreille, sur sa chaîne YouTube pour découvrir un peu sa discographie !
On passe maintenant aux “TAKE” ! Les rubriques où chacun notre tour, Marc, Nicolas et moi abordons un sujet lié à notre actualité culturelle personnelle ! Au programme de cet épisode : comics, livres et mangas !
Avec Marc, on reste dans les créatures mythiques avec les démons et autres Yokai de l’autrice Peach Momoko, à l’origine de spectaculaires relectures en mode “estampe” des super-héros Marvel.
Je vous emmène pour ma part… en enfer ! Ou tout du moins au coeur de “l’enfer” du développement de jeu vidéo dans les années 90 avec l’autobiographie de John Romero, parfaitement nommée : DOOM GUY. John Romero est l’un des fondateurs du studio id Software, à qui l’on doit les classiques Wolfenstein 3D, Quake et bien entendu le mythique… DOOM !
Si le livre DOOM GUY est pour le moment uniquement disponible en anglais, il sera prochainement traduit et publié par la maison d’édition Omaké Books.
Cette autobiographie est aussi l’opportunité de découvrir, au-delà des coulisses du studio ayant créé le genre FPS (First Person Shooter), des portraits de jeunes créateurs / entrepreneurs. John Romero parle ainsi avec une honnêteté teintée de regret des erreurs qu’il a pu commettre au cours de sa carrière, dont certaines conduiront à son départ du studio id Software.
Cette conversation entre John Romero (lead designer) et John Carmack (lead programmer) a été enregistrée et publiée pour fêter les 30 ans de DOOM en décembre 2023. Elle permet de mettre des visages sur deux des “protagonistes” les plus importants du livre DOOM GUY et de l’histoire du studio id Software.
Enfin, pour bien s’assurer d’avoir suffisamment de mythique dans cet épisode, Nico revient sur l’immense mangaka, Adachi Mitsuru, dont la carrière est jalonnée d’oeuvres… oui, mythiques ! Telles que Touch et Rough, dont les intrigues amoureuses sur fond d’épreuves sportives vous convertiront au baseball et à la natation !
Et toutes ces oeuvres ne sont que la partie visible de l’iceberg Mitsuru dans l’appartement tokyoïte de Nico !
Voici d’ailleurs, en exclusivité mondiale, une photo de sa cave, en France, avec ses cartons remplis de mangas, laserdiscs et autres jeux vidéo.
A la toute fin du podcast, je parle de cet incroyable documentaire, Memories of Kenji Eno, visible gratuitement sur la chaîne YouTube du collectif Archipel...
Punk, maverick, aventurier, génie… Kenji Eno est décrit de multiples façons par ses proches et anciens collègues, devenus depuis des piliers de l’industrie du jeu vidéo. En regardant ce superbe docu sur le game designer et compositeur décédé il y a 10 ans, on voit à quel point il a influencé Testuya Mizuguchi (REZ), Hideo Kojima (Metal Gear) ou Fumito Ueda (ICO, Shadow of the Colossus).
Tous ces grands noms du jeu vidéo japonais sont d’ailleurs interviewés dans ce documentaire d’1h20 !
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Encore des photos bonus prises après l’enregistrement du podcast !
N’hésitez pas à partager vos dragons favoris dans les commentaires !
Et encore MERCI à toutes et à tous de nous écouter ! ;-)
PS: Les images des dragons du Voyage de Chihiro et de La Belle au bois dormant sont issues des sites Ghibli Japon et IMDB. L’image du “Hangar 51” de Indiana Jones et les Aventuriers de l’Arche perdue est tirée du site Indiana Jones Wiki. Toutes les autres photos ont été prises ou capturées par mes soins.
Bonjour Thierry, Marc, Nicolas, super épisode, merci. J'ai découvert votre podcast récemment et il me fait un bien fou dans un moment compliqué de ma vie. Je découvre tant d'oeuvres fascinantes, cette fois je me suis engouffré dans l'univers de Peach Momoko dont j'ignorais l'existence, j'ai mis un nom et une histoire sur le créateur de "D" qui m'avait fait frissonner à l'adolescence (mes parents regardaient mon "playthrough", des souvenirs mémorables), et j'attends avec impatience la traduction française de Doom Guy, j'ai passé tant d'heures dans l'enfance à jouer à ce jeu sur le PC de mon grand-père sans en connaître le background...
Pixel Bento arrive tard dans ma vie, mais finalement au meilleur des moments, c'est pile ce qu'il me fallait.
Bonjour Thierry. ça fait quelques épisodes que j'écoute Pixel Bento et votre bonne humeur et votre complicité fait plaisir à entendre ;). Le segment sur les dragons m'a inspiré donc je te partage des apparitions qui n'ont pas été cités et qui, rétrospectivement, ont marquées mes expériences de jv.
La série Capcom 'breath of fire' dont le héros (nommé par défaut Ryū) est traditionnellement un dragon, mention spéciale au concept très ludique de l'épisode 3 où on mixe des gènes pour créer des dragons aux formes et capacités différentes selon le besoin, et à l'épisode 5 où on dispose dès le début du jeu d'une transformation en dragon capable de one shot n'importe quel ennemi du jeu boss compris, mais dont chaque utilisation puise de manière irréversible dans la force vitale du héros.
Tous les dragons des jeux de Yasumi matsuno (ff12, vagrant story...) qui arrivent à systématiquement renouveler chez moi la fascination pour des créatures "tarte à la crème" de la fantasy. Chaque jeu en comporte une grande variété et me donne le sentiment que je n'ai croisé que quelques sous-espèces d'une famille bien plus riche. De plus grâce une mise en scène très soignée chaque nouvelle rencontre avec la moindre vouivre, drake, ou dragon élémentaire me donne le sentiment de me trouver face à une créature mythologique. En bref des dragons qui puent la classe!